UN VOYAGE ENTRE ABYSSE ET RÊVES...
Abysomnia est une installation immersive et interactive, dans laquelle le voyageur est invité à se laisser envelopper d’un environnement abyssal et onirique. Nathan Belfer, artiste numérique lyonnais de la compagnie Prose, vous invite à un voyage de lumière hors du temps.
Au coeur d’une fine bulle submergée d’illusion, un espace clos se dessine et enlace le public dans les bas fonds. Tel un rêve sans fin, le spectateur se laisse porter au grès de son imagination, un univers de particules se dessine, de voluptueuses formes dansent avec lui. Le temps cesse, le voyageur s’égare et s’isole de la réalité pour enfin laisser place à la poésie.
Au coeur d’une fine bulle submergée d’illusion, un espace clos se dessine et enlace le public dans les bas fonds. Tel un rêve sans fin, le spectateur se laisse porter au grès de son imagination, un univers de particules se dessine, de voluptueuses formes dansent avec lui. Le temps cesse, le voyageur s’égare et s’isole de la réalité pour enfin laisser place à la poésie.
EN COLLABORATION ABYSSALE !
Abysomnia c’est aussi un concert visuel issu de la rencontre de deux univers artistiques : la composition musicale de Gaspard Polar, et les arts numériques de Nathan Belfer.
Dans une ambiance poétique et enivrantes où les créations visuelles de Nathan se découvrent, Gaspard développe un live électronique progressif et savoureux au travers d’un dialogue entre sons et visuels. Les particules volent, les rythmes se dédoublent, de généreuses et voluptueuses formes se dessinent pour enfin laisser place à une symphonie chaleureuse.
NOS PARTENAIRES PRENANT PART AUX PROFONDEURS
Suite à une première sortie de résidence en Septembre lors du Festival de La Grande Côte en solitaire, Nathan Belfer reconstruit à l’occasion de la Biennale d’Art Contemporain de Lyon, au cœur de la salle d’exposition de Chromatique, son délicat cocon de lumière.
Abysomnia se déploie et redessine les contours de l’espace accessible au public. De l’extérieur, un bloc noir et compact fait rempart au réel. A l’intérieur, l’imaginaire se réverbe sur des délicates membranes en tulle.
Le récit de ce qui s’y projette s’altère en continu au contact du public avec la première impulsion générative de l’artiste, et bouleverse et consolide en même temps cet équilibre.
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